L'essentiel
Selon les dernières données, 82 % des plus grandes entreprises mondiales intègrent désormais des informations sur la durabilité dans leurs rapports annuels, afin de se conformer aux nouvelles réglementations, à la directive CSRD et aux différents cadres européens en matière d'information extra-financière.
Demain, le champ d'application du rapport de durabilité concernera des milliers d'entreprises de l'Union européenne et au-delà. Comment anticiper ces changements et répondre aux futures exigences réglementaires ? C'est tout l'enseignement de l'étude internationale de KPMG.
Cette nouvelle édition présente les dernières tendances en matière de reporting ESG (Environnement, Social, Gouvernance). Elle révèle que les rapports de durabilité sont désormais intégrés dans la gestion des plus grandes entreprises du monde. Elle souligne la proportion croissante des entreprises à publier leur trajectoire de décabornation. En revanche, la proportion des entreprises à communiquer sur leurs actions en matière de biodiversité reste faible. Enfin, l'étude démontre à quel point la démarche n'est pas que réglementaire. Bien sûr, beaucoup d'entreprises ont respecté l'échéance de la conformité , mais beaucoup d'autres ont fait le choix de l'anticipation pour faire preuve de transparence auprès de leur marché financier, améliorer leur réputation ou soigner leur marque employeur.